Il
est plus facile de prévenir les maladies ou les dégâts
dus aux prédateurs que de les guérir. Ceci est souvent
possible avec de bonnes pratiques culturales qui donnent des plantes
robustes capables de résister à ces agressions. Des
arrosages prodigués quand cela est nécessaire, plutôt
tôt le matin que dans la journée pour permettre le séchage
complet du feuillage avant la chute de température qui accompagne
la fin du jour par exemple, éviteront des problèmes
liés aux champignons parasites. Au moment du rempotage, l'utilisation
d'un matériel désinfecté et de poteries propres
évitent les contaminations dues aux micro-organismes.
L'isolation
des individus nouvellement acquis est aussi une sage précaution
de même que celle des plantes présentant des symptômes
suspects.
Le
nettoyage régulier et la désinfection du local de
culture sont indispensable, de même que l'élimination
de tous les débris végétaux qui pourraient
servir de tremplin au développement de maladies ou à
la pullulation d'animaux nuisibles.
Dans
le cas d'un traitement curatif, il ne faut pas oublier de respecter
les données fondamentales concernant l'utilisation de produits
dangereux comme le sont la plupart des pesticides.
|