Phalaenopsis parishii a été
décrit en 1865, le même jour que Phalaenopsis lueddemanniana,
par Reichenbach fils
dans Botanische Zeitung (Berlin) 23: 146. |
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Auparavant, en 1851, la plante avait été
signalée, mais non décrite, par le botaniste britannique William
Griffith dans Notulae ad Plantas Asiaticas 3: 365 sous le nom d'Aerides
decumbens. |
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En 1917 Rolfe
transfére Aerides decumbens dans le genre Kingiella dans The Orchid
Review 25: 197. Cette interprétation est à l'origine d'une
confusion de nom qui dure encore avec Phalaenopsis deliciosa encore souvent
commercialisé sous le nom de Phalaenopsis decumbens. |
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Kingiella decumbens est ensuite transféré
dans le genre Biermannia par Tang &
F.T.Wang ex Merril & Metcalf dans Lingnan Science Journal 21: 7 en 1945.
Deux ans plus tard, en 1947, Holttum transfère cette espèce
dans le genre Phalaenopsis dans Garden Bulletin Singapore 11: 286. Nous
avons donc à ce moment un Phalaenopsis deliciosa qui est devenu phalaenopsis
decumbens...à partir d'aerides decumbens qui est en fait un Phalaenopsis
parishii. |
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A son tour le botaniste anglais Peter
Francis Hunt ajoute à la confusion en créant le genre Kingidium
dans Kew Bulletin 24: 97 en 1970. |
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Les transferts plus récents
dans les genre Polychilos (Shim dans Malayan Nature Journal 36: 25 en 1982)
ou Doritis (T.Yukawa & K.Kita dans Acta Phytotaxonomica Geobotanica
56: 157 en 2005) ne sont plus qu'anectodiques, de même que la tentative
du botaniste étasunien Alex Drum
Hawkes de créer le genre Grafia dans Phytologia 13: 306 en 1966. |
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