Phalaenopsis
bastianii (Gruss & Röllke. 1991)
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Sépales
et pétales à fond crème, plus ou moins jaunâtre,
barrés et maculés transversalement d'acajou ou de brun rouge.
La base des sépales latéraux est le plus souvent orné
d'une large macule. La colonne est mauve sur les deux tiers de sa longueur. Labelle mauve avec les callus ornant les lobes latéraux jaune. La floraison est essentiellement printanière. Néanmoins, on peut trouver des plantes plus ou moins fleuries presque toute l'année. La fleur rappelle quelque peu celle du Phalaenopsis maculata. L'absence de pilosité sur le lobe médian du labelle de celui-ci permet de les distinguer facilement. Le Phalaenopsis bastianii peut aussi se confondre avec le Phalaenopsis mariae. Les lobes latéraux du labelle de ce dernier sont à apex dentelé, alors qu'ils sont émarginés chez le Phalaenopsis bastianii. La forme du lobe médian est aussi différente, plus ovale chez le Phalaenopsis mariae. Les segments floraux sont révolutés chez le Phalaenopsis mariae. Enfin, les hampes florales sont pendantes chez le Phalaenopsis mariae, érigées chez le Phalaenopsis bastianii. La culture du Phalaenopsis bastianii ne pose aucune sorte de problème. La floraison revient régulièrement pour le printemps. Elle est de longue durée. Phalaenopsis bastianii produit facilement des keikis. Une plante adulte peut présenter plusieurs hampes florales fleuries simultanément. |
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Historique
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Nommé ainsi par Röllke en l'honneur de son fils Bastian. La plante a été introduite en Europe en 1980 dans un lot de plantes qui devaient être des Phalaenopsis mariae. | |||||||||||||
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